-L'homme de la terre sait qu'il n'est qu'il n'est que le maillon d'un ensemble régi par des lois simples et que pour le reste,c'est se martyriser que de vouloir en savoir plus. Les gens des villes sont le centre d'un monde qu'ils ont fait eux-mêmes. Ils en crèvent,rongés de l'intérieur par le doute
-L'araignée tisse sa toile. Lentement. Sûre de son fait. C'est dans l'ordre des choses. L'araignée attend la mouche. La mouche vient s'échouer dans la toile. La mouche a perdu. Elle ne se plaint pas. Il n'y a pas de drame dans la nature
-Un homme qui bave est forcément un innocent
-Les réveils sont encore plus terrifiants,car ils déchirent le voile de l'irréel
-Il n'y a finalement que les morts qui puissent nous envier. Et encore,j'en doute
-La vie continue comme une rumeur que le bruit du front ne parvient pas à couvrir
-il n'y a rien de plus impitoyable que le regard d'une prostituée
-L'homme est fait de chair et de sang. Lorsque le sang coule et que les chairs ont été meurtries jusqu'à transformer notre être,il faut nous résigner à vivre des choses simple et éviter des élans qui nous ramènent toujours à ce que nous sommes devenus en réalité. c'est pour cela que j'accepte votre amitié. Par réalisme
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